Les « Libres propos » de Hitler révèlent un pur produit de la modernité

Les « Libres propos » de Hitler révèlent un pur produit de la modernité Échantillon d’une pensée anti-chrétienne

Ces citations de Hitler montrent un homme aux préoccupations très modernes :
— Vivre en communion avec la nature ;
— Prêcher la tolérance religieuse ;
— Faire triompher la « raison » contre l’ennemi irréductible que constitue l’Église catholique ;
— « Libérer » l’homme des autorités traditionnelles par la révolution ;
— Abandonner l’institution politique pour le mythe de l’élection du meilleur, cet homme providentiel qui apportera le salut à la république.
Moderne surtout, ce subjectivisme irresponsable d’une raison humaine autonome, débarrassée de toute transcendance : « je puis me tromper, mais je suis de bonne foi », même si l’erreur doit coûter quelques millions de vies. Faut-il s’en étonner ? Par essence révolutionnaire, l’idéologie conduit toujours aux mêmes effets : le « Führer » est bien le digne continuateur des grands ancêtres de 1789 dont il revendique l’héritage, et les Libres propos de Hitler révèlent un pur produit de la modernité.

Introduction de Vive le Roy

Citations d’Adolf Hitler tirées des tomes 1 et 2 de Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Le temps présent, FLAMMARION, traduction de François Genou.
– Tome 1, 1952.
– Tome 2, 1954.


Rendre un culte à la nature

Vivre en communion avec la nature

Je crois que celui qui contemple l’univers avec des yeux grands ouverts est l’homme le plus naturellement pieux : pas dans le sens où l’entendent les religions, mais dans le sens d’un accord intime avec les choses. (T1 p.6.)
 
Celui qui vit en communion avec la nature entre nécessairement en opposition avec les Églises. Et c’est pourquoi elles vont à leur perte — car la science doit remporter la victoire. (T1 pp.61-62.)
 
… l’on peut envier les Japonais. Ils ont une religion toute simple qui les met en contact avec la nature. Même du christianisme, ils ont réussi à faire une religion moins choquante pour l’esprit. (T1 p.141.)
 
Il est possible de satisfaire les besoins de la vie intérieure par une communion intime avec la nature, ou par la connaissance du passé. Seule une minorité pourtant peut, au stade actuel du développement des esprits, éprouver le respect qu’inspire l’inconnu et satisfaire de cette façon les besoins métaphysiques de l’âme. L’humanité moyenne a les mêmes besoins, mais ne peut les satisfaire que par des voies élémentaires. Cela est particulièrement vrai pour la femme, de même pour le paysan qui assiste impuissant à la destruction de sa récolte. L’être simpliste a soif de croyance, et il s’y cramponne obscurément de toutes ses forces. (T1 pp.60-61.)

Transmigration des âmes dans la nature (réincarnation ?)

Par quoi voudriez-vous que je remplace l’image que les chrétiens se font de l’au-delà ? Ce qui est naturel à l’homme, c’est le sentiment de l’éternité, et ce sentiment est au fond de chacun. L’âme et l’esprit accomplissent une migration, de même que le corps autour de la nature. Ainsi la vie renaît éternellement de la vie. Quant au pourquoi de tout cela, je n’éprouve pas le besoin de me casser la tête à ce propos. L’âme est insondable. (T1 p.141.)
 
Le monde antique avait le goût de la clarté. La recherche scientifique y était encouragée. Les dieux, pour les Romains, étaient des images familières. Il est assez difficile de savoir s’ils avaient une idée précise de l’au-delà. Pour eux, la vie éternelle s’incarnait dans les êtres vivants, et elle consistait en un perpétuel renouvellement. C’était là des conceptions assez proches de celles qu’on trouve chez les Japonais et les Chinois à l’époque où apparut chez eux la svastika. (T1 p.303.)
 
L’homme cultivé conserve le sens des mystères de la nature et s’incline devant l’inconnaissable. (T1 p.59.)

Prôner la « loi naturelle » du plus fort

L’homme a découvert dans la nature la notion merveilleuse de cette toute-puissance dont il adore la loi.
Au fond de chaque être, il y a le sentiment de cette toute-puissance, à laquelle nous donnons de le nom de Dieu (à savoir la domination des lois naturelles dans tout l’univers). (T1 p.6.)
 
Comme en tout, la nature est le meilleur des pédagogues, même en ce qui concerne la sélection. On ne saurait imaginer de la part de la nature, une activité plus heureuse que celle qui consiste à déterminer l’ascension des êtres, à la faveur d’une lutte perpétuelle. (T2 p.39.)
 
Les hommes se dépossèdent les uns des autres, et l’on s’aperçoit en fin de compte que c’est toujours le plus fort qui triomphe. N’est-ce pas là l’ordre le plus raisonnable ?
S’il en était autrement, rien de bien n’eût jamais existé. Si nous ne respections pas les lois naturelles en nous imposant par le droit du plus fort, un jour viendrait où les animaux sauvages nous dévoreraient à nouveau — puis les insectes mangeraient les animaux sauvages, et finalement seuls les microbes subsisteraient sur la terre. (T1 p.40.)
 
Du fait de la lutte, les élites se renouvellent constamment. La loi de sélection justifie cette lutte incessante en vue de permettre aux meilleurs de survivre.
Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique du déchet humain. (T1 p.51.)
 
Le droit est une invention humaine. La nature ne connaît ni le notaire ni le géomètre-arpenteur. Dieu ne connaît que la force. (T1 p.69.)
 
La providence a doué les êtres vivants d’une fécondité sans limite, mais elle n’a pas mis à leur portée, sans que cela nécessite un effort de leur part, la nourriture dont ils ont besoin. Cela est fort bien ainsi, car c’est la lutte pour l’existence qui produit l’accession des meilleurs. (T1 p.132.)
 
Selon le droit naturel, le premier personnage de la nation devrait être le meilleur. (T1 p.119.)
 
Placer le meilleur à la tête de l’État, c’est là le problème le plus difficile à résoudre. (T2 p.28.)
 
En dix ans, nous aurons constitué une élite d’hommes dont nous saurons que nous pouvons compter sur eux à chaque fois qu’il s’agira de maîtriser de nouvelles difficultés.
Nous tirerons de là un nouveau type d’homme, une race de dominateurs, des sortes de vice-rois. (T1 p.20.)

Établir la tolérance religieuse et la séparation Église/État

Une nouvelle ère de tolérance religieuse

Il est vraisemblable, en ce qui concerne la religion, que nous allons entrer dans une ère de tolérance. Il sera admis que chacun peut faire son salut à sa convenance personnelle. Le monde antique a connu ce climat de tolérance. Personne ne s’y adonnait au prosélytisme. (T1 p.331.)
 
Notre époque verra sans doute la fin de la maladie chrétienne. C’est une affaire de cent ans, deux cents ans peut-être. Mon regret aura été, à l’instar de tel prophète, de n’apercevoir que de loin la terre promise. Nous entrons dans une conception du monde, qui sera une ère ensoleillée, une ère de tolérance. (T1 p.332.)
 
J’envisage donc l’avenir de la façon suivante. D’abord, à chacun sa croyance personnelle. La superstition ne perdra pas ses droits. Le Parti est à l’abri du danger de concurrencer les religions. Il faut simplement leur interdire de se mêler dorénavant des affaires temporelles. Depuis l’âge le plus tendre, l’éducation sera donnée de telle sorte que chacun sache ce qui importe au maintien de l’État. Pour les hommes de mon entourage, qui comme moi ont échappé à l’emprise du dogme, je n’ai pas à craindre que l’Église leur mette le grappin dessus.
Nous veillerons à ce que les Églises ne puissent plus répandre des enseignements en contradiction avec l’intérêt de l’État. Nous continuerons à affirmer la doctrine nationale-socialiste, et la jeunesse n’entendra plus que la vérité. (T1 p.62.)
 
Le monde antique avait ses dieux et servait ses dieux. Mais les prêtres interposés entre les dieux et les hommes étaient des serviteurs de l’État, car les dieux protégeaient la Cité. En somme, ils étaient l’émanation d’une puissance que le peuple avait créée. L’idée d’un Dieu unique était impensable pour ce monde-là. Dans ce domaine, les Romains étaient la tolérance même. L’idée d’un dieu universel ne pouvait leur paraître qu’une douce folie — car si trois peuples luttent entre eux en invoquant le même Dieu, cela en fait en tout cas deux qui prient en vain !
Personne ne fut plus tolérants que les Romains. Chacun pouvait prier le Dieu de son choix et dans les temples une place était même réservée au dieu inconnu. Au surplus, chacun priait comme il l’entendait et avait le droit de proclamer ses préférences. (T1 p.77.)

Une Église nationale, à la rigueur !

Je n’intervient pas dans les questions de croyance. Aussi ne puis-je admettre que les gens d’Église se mêlent des affaires temporelles. Il faut que le mensonge organisé s’écroule. L’État doit demeurer le maître absolu. … Contre une Église qui s’identifie avec l’État, comme c’est le cas en Angleterre, je n’ai rien à dire. Mais il est quand même impossible que l’on puisse éternellement assujettir l’humanité avec des mensonges. (T1 p.140.)
 
L’État eut rarement la possibilité, au cours de l’histoire d’Allemagne, d’agir sur l’évolution interne de l’Église. L’occasion la plus favorable s’est probablement présentée à l’époque du modernisme, dans les années 1907-1909. Il est vrai que ce mouvement, en bien des choses, n’a fait que reprendre certaines façons de penser des catholiques libéraux. Toutefois, à d’autres points de vue, le modernisme apportait des éléments nouveaux. Si à l’époque l’État avait su exploiter ces aspirations, il eût été possible de créer une Église nationale allemande complètement détachée de Rome. Il faut tenir compte également du fait que les modernistes désiraient sincèrement une entente avec l’Église évangélique. Il y avait donc la possibilité de jeter un pont entre les deux confessions chrétiennes. Mais l’État, trop faible, a passé à côté de cette chance. Il n’y avait personne qui eût l’envergure nécessaire pour embrasser le problème et le résoudre. Le jeu de l’Église fut facile. Elle menaça et excommunia. Un prêtre de plus de cinquante ans, qui a défroqué, et qui est mis au ban de l’Église, ce n’est plus rien.
À coups de menaces, les modernistes furent tourmentés jusqu’à ce qu’ils se soumissent. La plupart cédèrent. C’est un fait que les menaces de l’Église ont un caractère tangible. Quand il s’agit d’affaires sérieuses, elle ne se contente pas du spectre de l’Enfer, ou même du Purgatoire. Aussi le mouvement moderniste ne tarda-t-il pas à péricliter. Le coup de grâce lui fut donné par l’obligation imposée désormais à tous les prêtres de prêter serment à l’Église. (T2 p.343.)
 
Le Duce m’a dit à Venise, en 1934 : « Un jour viendra où le Pape devra quitter l’Italie, car il n’y a pas place pour deux maîtres. » (T2 pp.238-239.)

Faire triompher la science sur les religions

Le culte de la raison humaine

Quand le national-socialisme aura régné durant assez longtemps, il sera possible de concevoir une forme de vie différente de la nôtre.
À la longue, le national-socialisme et la religion ne pourront plus cœxister. (T1 p.7.)
 
Pour lui rendre la mort plus facile, l’Église tend à l’homme l’appât d’un monde meilleur. Nous nous bornons, nous, à lui demander de façonner dignement sa vie. Il lui suffit pour cela de se conformer aux lois naturelles. Inspirons-nous de ces principes, et nous triompherons à la longue de la religion.
Mais il n’est pas question que jamais le national-socialisme se mette à singer une religion par l’établissement d’un culte. Son unique ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui soit rien de plus qu’un hommage à la raison. (T1 p.39.)
 
Un mouvement comme le nôtre ne doit pas se laisser entraîner dans des digressions d’ordre métaphysique. Il doit s’en tenir à l’esprit de la science exacte. Le Parti n’a pas à être une contrefaçon de la religion. …
Celui qui vit en communion avec la nature entre nécessairement en opposition avec les Églises. Et c’est pourquoi elles vont à leur perte — car la science doit remporter la victoire. (T1 pp.61-62.)
 
L’Église actuelle n’est rien d’autre qu’une association en vue d’exploiter la bêtise humaine. (T2 p.239.)
 
L’homme, alourdi par un passé de superstition, a peur des choses qu’il ne peut, ou ne peut encore, s’expliquer — c’est-à-dire l’inconnu. Si quelqu’un éprouve des besoins d’ordre métaphysique, je ne puis le satisfaire avec le programme du Parti. Le temps coulera jusqu’au moment où la science pourra répondre à toutes les questions. Il n’est donc pas opportun de se lancer maintenant dans une lutte avec les Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du christianisme s’effrite devant les progrès de la science. (T1 pp.59-60.)
 
Par ailleurs, et pour braver la fausse science de l’Église catholique, je ferai construire sur l’autre rive du Danube un observatoire où seront représentées les trois grandes conceptions cosmologiques de l’histoire — celle de Ptolémée, celle de Copernic, celle de Hörbiger. La coupole de l’édifice contiendra un planétarium qui non seulement satisfera la soif de connaître des visiteurs, mais sera utilisable pour les recherches scientifiques. (T2 p.84.)
 
L’observatoire que je ferai construire à Linz, sur le Postling-Berg, je l’ai devant les yeux. Une façade d’une pureté classique. Je ferai raser le temple païen, et l’observatoire prendra sa place. Ainsi, à l’avenir, chaque dimanche des milliers de promeneurs y feront un pèlerinage. Ils se pénétreront ainsi de la grandeur de notre univers. Le fronton portera cette devise : « les cieux proclament la gloire de l’éternel. » Ce sera notre façon à nous de donner un esprit religieux aux hommes, de leur enseigner l’humilité — mais en dehors des prêtres. (T1 p.312.)
 
Dans le grand hall de la Bibliothèque de Linz, l’on trouvera les bustes de Kant, de Schopenhauer et de Nietzsche, nos plus grands penseurs… Le principal mérite de Kant est d’avoir donné le coup de grâce à la scolastique, héritage du moyen-âge et de la philosophie dogmatique de l’Église. (T2 p.345.)
 
Si, au terme de mille ou de deux mille ans, la science en arrive à la nécessité de renouveler ses points de vue, cela ne signifiera pas que la science soit mensongère. La science ne peut mentir, car elle s’efforce toujours, selon l’état des connaissances du moment, de déduire ce qui est vrai. Quand elle se trompe, elle se trompe de bonne foi. Le christianisme, lui, ment. Il est en perpétuel conflit avec lui-même. (T1 p.61.)
 
S’il y a un Dieu, en même temps qu’il donne la vie à l’homme, il donne l’intelligence. En réglant ma vie selon le discernement qui m’est imparti, je puis me tromper, mais je suis de bonne foi. La représentation concrète que la religion impose de l’au-delà ne résiste pas à l’examen. Songez à ceux qui d’en haut regardent ce qui se passe sur la terre : quel martyre pour eux de voir les humains répéter inlassablement les mêmes gestes, inévitablement les mêmes erreurs ! (T1 pp.141-142.)

Genèse du christianisme revisitée par Hitler

Le Christ et la Vierge selon Hitler

Jésus n’était sûrement pas un Juif. Les Juifs, en effet, n’eussent pas livré l’un des leurs à la justice romaine. Ils l’eussent condamné eux-mêmes. Vraisemblablement vivaient en Galilée de nombreux descendants de légionnaires romains, notamment des Gaulois. Jésus devait être l’un des leurs. Il n’est pas exclu en revanche que sa mère fut juive. Jésus lutta contre le matérialisme corrupteur de son époque, et donc contre les Juifs. (T2 p.346.)
 
À l’origine, le christianisme n’était qu’une incarnation du bolchevisme destructeur. Pourtant, le Galiléen, que plus tard on appela le Christ, a voulu tout autre chose. Il faut voir en lui un chef populaire qui a pris position contre la juiverie. La Galilée était une colonie où les Romains avaient vraisemblablement installé des légionnaires gaulois, et il est certain que Jésus n’était pas juif. Les Juifs d’ailleurs le traitaient en fils de putain — ; le fils d’une putain et d’un soldat romain. (T1 p.76.)
 
Nous n’avons aucune lumière sur le mystère quand nous apprenons que les curés se représentent Dieu sous les traits d’un homme. Les disciples de Mahomet, à ce point de vue, leur sont bien supérieurs, car ils n’éprouvent pas le besoin de se représenter physiquement Allah ! Ce qui fait le danger du christianisme, c’est qu’il donne une représentation humaine de l’au-delà. (T2 p.238.)

Dénaturation du christianisme primitif par saint Paul

La falsification décisive de la doctrine de Jésus fut l’œuvre de Saint-Paul. C’est avec raffinement qu’il s’est adonné à cette œuvre, et pour des fins d’exploitation personnelle. Car le but du Galiléen était de libérer sa patrie de l’oppression juive. Il s’en prit au capitalisme juif, et cela explique que les Juifs l’aient liquidé.
Paul de Tarse (il s’appelait Saül avant le chemin de Damas) fut l’un de ceux qui pourchassèrent le plus sauvagement Jésus. Quand il s’aperçut que ses partisans se faisaient égorger pour ses idées, il compris qu’en se servant intelligemment de l’enseignement du Galiléen il serait possible de subvertir cet État romain que les Juifs haïssaient. C’est à cela qu’il convient de rattacher la fameuse « illumination ». Imaginez que les Romains se permettaient de confisquer ce que les Juifs avaient de plus sacré, l’or qu’ils entassaient dans leurs temples ! À cette époque, comme aujourd’hui, l’argent était leur dieu.
Saül-Paul découvrit sur la route de Damas qu’il parviendrait à ruiner l’État romain en faisant triompher le principe de l’égalité de tous les hommes devant un seul Dieu — ; et en mettant hors de la prise des lois ses conceptions personnelles dites d’inspiration divine. Si l’on réussissait par-dessus le marché à imposer un homme comme le représentant sur la terre du dieu unique, cet homme disposerait d’un pouvoir sans limite. (T1 p.76-77.)
 
Paul de Tarse, qui fut d’abord l’un des adversaires les plus acharnés des chrétiens, s’avisa tout à coup de la possibilité d’utiliser intelligemment, et à d’autres fins, une idée qui exerçait un tel pouvoir de fascination. Il s’est rendu compte que l’exploitation judicieuse de cette idée lui donnerait un plus grand pouvoir auprès des non-Juifs que la promesse de récompenses matérielles faite à des coreligionnaires. C’est alors que le futur saint Paul dénatura avec un raffinement diabolique, l’idée chrétienne. De cette idée, qui contenait une déclaration de guerre au veau d’or, à l’égoïsme et au matérialisme juifs, il fit le cri de ralliement des esclaves de toute sorte contre l’élite, contre les maîtres, contre les dominateurs. La religion fabriquée par Paul de Tarse, ce qu’on appela dès lors le christianisme, s’identifie avec le communisme. (T2 p.346-347.)
 
Le Christ était un Aryen, et Saint-Paul s’est servi de sa doctrine pour mobiliser la pègre et organiser ainsi un pré-bolchevisme. Cette intrusion dans le monde marque la fin d’un long règne, celui du clair génie gréco-latin. (T1 pp.140-141.)
 
Quel besoin avons-nous d’une fable inventée par les Juifs ? En quoi l’histoire de quelques Juifs pouilleux et épileptiques pourrait-elle nous concerner ? (T2 p.257.)

La thèse du Christianisme poison

Le christianisme fléau de l’humanité

Le coup le plus dur qui ait frappé l’humanité, c’est l’avènement du christianisme. …
Par le christianisme, le mensonge conscient en matière de religion a été introduit dans le monde. … Dans le monde antique, les relations entre l’homme et les dieux étaient fondées sur un respect instinctif. C’était un monde éclairé par la notion de tolérance. Le christianisme, le premier dans le monde, a exterminé ses adversaires au nom de l’amour. Sa marque est l’intolérance. (T1 p.7-8.)
 
Le christianisme constitue la pire des régressions que put subir l’humanité, et c’est le Juif, grâce à cette invention diabolique, qui l’a rejetée quinze siècles en arrière. … Les prêtres de l’Antiquité étaient plus proches de la nature, et il cherchaient modestement la signification des choses. En regard de cela, le christianisme promulgue ses dogmes inconsistants et les impose par la force. Une telle religion porte en elle l’intolérance et la persécution. Il n’en est pas de plus sanglante. (T1 p.312.)
 
Le christianisme pur, celui des catacombes, s’applique à faire passer dans les faits la doctrine chrétienne. Il conduit tout simplement à un anéantissement de l’humanité. Ce n’est que du bolchevisme intégral, sous des oripeaux métaphysiques. (T1 p.143.)
 
L’événement sensationnel du monde antique, ce fut la mobilisation de la pègre contre l’ordre établi. Cette entreprise du christianisme n’avait pas plus de rapport avec la religion que n’en a le socialisme marxiste avec la solution du problème social. (T1 p.303.)

Le christianisme contre la civilisation

Si le monde antique a été si pur, si léger, si serein, c’est parce qu’il a ignoré ces deux fléaux : la vérole et le christianisme.
Le christianisme est une préfiguration du bolchevisme : la mobilisation par le Juif de la masse des esclaves en vue de miner la société. Aussi comprend-on que les éléments sains du monde romain aient été imperméables à cet enseignement.
Et Rome se permet de reprocher au bolchevisme d’avoir détruit l’Église chrétienne ! Comme si le christianisme ne s’était pas comporté de la même façon à l’égard des temples païens. (T1 p.75-76.)
 
La période qui s’étend entre le milieu du IIIe et le milieu du XVIIe siècle est sans aucun doute la pire qu’ait connu l’humanité : soif de sang, ignominie, mensonges. (T1 p.243.)
Le christianisme a retardé de mille ans l’épanouissement du monde germanique. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que nous nous sommes rapprochés de l’état de civilisation qui était celui des Romains, au moment où s’implanta chez eux le christianisme. (T1 p.78.)
 
Sans l’avènement du christianisme, qui sait comment l’histoire de l’Europe se fut développée ? Rome eût conquis toute l’Europe, et la ruée des Huns se fût brisée sur les légions. C’est le christianisme qui a causé la perte de Rome. Ce ne sont ni les Germains ni les Huns.
Ce que le bolchevisme met en scène aujourd’hui sur le plan matérialiste et technique, le christianisme l’avait réalisé sur le plan métaphysique. Quand la couronne voit le trône chanceler, elle requiert le soutien de la masse.
On ferait mieux de parler de Constantin le Traître et de Julien le Fidèle au lieu de Constantin le Grand et de Julien l’Apostat. Ce que les chrétiens ont écrit contre l’empereur Julien, c’est à peu près du même calibre que ce que les Juifs ont écrit contre nous. Les écrits de l’empereur Julien, en revanche, relèvent de la plus haute sagesse. Si l’humanité se donnait la peine d’étudier et de comprendre l’histoire, il en résulterait des conséquences d’une portée incalculable. On chantera un jour des actions de grâce au fascisme et au national-socialisme pour avoir préserver l’Europe d’une répétition du triomphe de la pègre. (T1 p.247.)
 
Si la philosophie politique des Japonais, qui est l’une des causes essentielles de leurs succès, s’est maintenue, c’est que le peuple japonais a été préservé à temps du virus chrétien. Tout comme dans l’islamisme, il n’y a aucune espèce de terrorisme dans la religion d’État japonaise, mais au contraire une promesse de bonheur. Ce terrorisme dans la religion procède en somme d’un dogme juif, que le christianisme a universalisé, et dont l’effet est de semer le trouble et la confusion dans les esprits. Il est visible que, dans le domaine de la foi, les représentations terroristes n’ont d’autre but que de détourner les hommes de leur optimisme naturel, et de développer en eux l’instinct de la lâcheté. (T2 p.36.)

Les raisons de la nocivité du christianisme

Si le Juif a réussi à détruire l’Empire romain, c’est parce que Saint-Paul a transformé le mouvement local d’opposition aryenne à la juiverie en une religion supra-temporelle, qui postule l’égalité de tous les hommes entre eux et leur obéissance à un seul Dieu. C’est de cela qu’est mort l’empire romain. (T1 pp.77-78.)
 
… le christianisme montre l’exemple. Quoi de plus fanatique, de plus exclusif et de plus intolérant que cette religion qui rapporte tout à l’amour du seul Dieu qu’elle révèle ? (T2 p.39.)
 
Il n’y a que dans le domaine de la musique que je ne trouve pas de satisfactions. Il arrive à la musique ce qui arrive à la beauté dans un monde dominé par la prêtraille — la religion chrétienne est ennemie de la beauté. Le Juif a réussi le même coup sur la musique. Il a créé une nouvelle inversion des valeurs et remplacé la belle musique par des bruits. Il est certain que l’Athénien, lorsqu’il pénétrait dans le Parthénon pour contempler l’image de Jupiter, devait avoir une autre impression que le chrétien qui doit se résigner à contempler le visage grimaçant d’un crucifié. (T1 p.314.)

Le christianisme maladie de l’intelligence

C’est un vrai malheur que la Bible ait été traduite en allemand et qu’elle ait rendu accessibles au peuple toutes ces finasseries talmudiques. Aussi longtemps que la sagesse exprimée par le christianisme, surtout celle contenue dans l’Ancien Testament, a été traduite dans la langue de l’Église, autrement dit le latin, les gens normaux n’ont pas encouru le risque d’avoir l’esprit dérangé par l’étude de la Bible.
Mais depuis que ce livre a été vulgarisé, la religiosité d’un grand nombre d’humains s’est trouvée canalisée dans un sens précis, ce qui les a menés, avec le temps, à la folie religieuse — ; les Allemands y étant d’autant plus prédisposés qu’ils ont la manie de creuser ces problèmes. En plus de cela, l’Église catholique a choisi des déments pour en faire des saints, et il n’est donc pas étonnant que le Moyen âge allemand ait donné naissance à une confrérie comme celle des Flagellants.
En tant qu’Allemand raisonnable, l’on se prend la tête à deux mains et l’on s’interroge pour essayer de comprendre comment toutes ces fumisteries juives accommodées par les prêtres ont pu tourner la tête à des Allemands et les pousser à adopter des pratiques dont nous sourions quand il s’agit de derviches tourneurs turcs ou de magie noire. Et l’on éprouve parfois un violent sentiment de colère à la pensée que des Allemands aient pu s’enliser dans des doctrines théologiques dénuées de toute profondeur alors qu’il en existe d’autres sur la vaste terre, comme celle de Confucius, de Bouddha et de Mahomet, qui offrent à l’inquiétude religieuse un aliment d’un autre prix. (T2 p.149.)
 
Je conçois que l’on puisse s’enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais le fade paradis des chrétiens ! De votre vivant vous écoutiez la musique de Richard Wagner. Après votre mort ce ne seront plus qu’alléluias, palmes agitées, enfants à l’âge du biberon et vieillards chenus. L’homme des îles rend hommage aux forces de la nature. Mais le christianisme est une invention de cerveaux malades : on ne saurait rien imaginer de plus insensé, ni une façon put inconvenante de tourner en dérision l’idée de la divinité. Un nègre, avec ses tabous, écrase de sa supériorité l’être humain qui croit sérieusement à la transsubstantiation. (T1 p.141.)

Hitler et le clergé catholique

Une haine viscérale

Dès ma quatorzième année, je me sentis libéré des superstitions que les curés enseignaient. À part quelques culs bénis, je puis dire qu’aucun de mes camarades ne croyait plus au miracle de l’eucharistie.
La seule différence avec aujourd’hui, c’est qu’à l’époque j’étais persuadé qu’il fallait faire sauter tout cela à la dynamite. (T1 p.314.)
 
Je n’interviens pas dans les questions de croyance. Aussi ne puis-je admettre que les gens d’Église se mêlent des affaires temporelles. Il faut que le mensonge organisé s’écroule. L’État doit demeurer le maître absolu. … Quand j’étais plus jeune, je pensais qu’il fallait y aller à la dynamite. (T1 p.140.)
 
Si le danger n’avait pas existé que le péril rouge submergeât l’Europe, je n’eusse pas contrecarré la révolution en Espagne. Le clergé eût été exterminé. Si ces gens-là reprenaient le pouvoir chez nous, l’Europe sombrerait à nouveau dans les ténèbres du moyen-âge. (T1 p.310.)
 
La calotte ! Le simple fait d’apercevoir un de ces avortons en soutane me met hors de moi. Le cerveau a été donné à l’homme pour penser. Mais s’il a le malheur de s’en servir, un grouillement de punaises noires est à ses trousses. L’esprit est voué à l’autodafé. T1 (p.311,312.)
 
Je ne me suis jamais préoccupé, dans le Parti, de savoir à quelle confession appartenaient ou n’appartenaient pas les hommes de mon entourage. Mais si je devais mourir aujourd’hui, cela me choquerait de savoir qu’il se trouve un seul cureton dans un rayon de dix kilomètres autour de moi. L’idée qu’un de ces êtres pourrait m’apporter le moindre secours me ferait à elle seule désespérer de la Providence. (T1 p.332.)

Le clergé contre l‘État nazi

L’Église catholique n’a qu’un seul désir, c’est notre effondrement. (T2 p.257.)
 
… la principale activité des curés consiste à saper la politique nationale-socialiste. (T2 p.51.)
 
Attendons la fin de la guerre, et un terme sera mis au Concordat. Je me réserve le plaisir de rappeler moi-même à l’Église les nombreux cas où elle l’a violé. Qu’on songe, par exemple, à la collusion de l’Église avec les meurtriers de Heydrich. Non seulement des prêtres leur ont permis de se cacher dans une église de la banlieue de Prague. Mais ils leur ont permis de se terrer dans le sanctuaire de cette église. (T2 p.189.)
 
De tout temps, le rôle du clergé a été de miner le pouvoir impérial. Aussi longtemps que nous supportons ces gens-là, nous n’avons pas le droit de nous plaindre. … je mettrai un terme définitif à cette lutte historique. Même si cela chagrine quelques-uns des nôtres, je saurai faire sentir aux prêtres la puissance de l’État, et au point qu’ils en seront surpris. Pour l’instant, je me borne à les observer — mais s’ils dépassaient les limites que je suis prêt à tolérer, je les liquiderais. C’est un reptile qui relève la tête chaque fois que l’État fait preuve de faiblesse et que nous devons donc écraser. (T2 p.257.)

La « prêtraille » ne perd rien pour attendre

Le mal qui nous ronge, ce sont nos prêtres des deux confessions. Je ne puis leur donner en ce moment la réponse qu’il convient, mais ils ne perdront rien pour attendre. Tout est consigné dans mon grand livre. Le moment viendra où je réglerai mes comptes avec eux, et je n’irai pas par quatre chemins.
Je ne sais ce qu’il faut considérer comme le plus dangereux : si c’est le ministre du culte qui joue la comédie du patriotisme, ou si c’est celui qui s’en prend ouvertement à l’État. Toujours est-il qu’en présence de leurs manœuvres j’ai été amené à prendre ma décision. Ils n’ont qu’à bien se tenir, ils auront de mes nouvelles. Je ne me laisserai pas arrêter par des scrupules d’ordre juridique. Seule la nécessité a force de loi. Avant 10 ans d’ici, tout aura pris une autre allure, je puis le leur promettre.
Nous ne pourrons pas éluder longtemps encore le problème religieux. Si l’on pense qu’il soit vraiment indispensable d’établir la vie de la société humaine sur la base du mensonge, eh bien ! J’estime que ces sociétés ne méritent pas d’être préservées. Si l’on croit au contraire que la vérité en constitue le fondement inéluctable, alors la conscience commande d’intervenir au nom de la vérité et d’exterminer le mensonge. (T1 p.294.)
 
Après cette guerre, je prendrai les mesures nécessaires pour rendre extraordinairement difficile le recrutement des prêtres. (T2 p.52.)
 
Mon discernement me dit qu’un terme doit être apporté au règne du mensonge. Il me dit également que le moment n’est pas opportun. Pour ne pas me rendre complice du mensonge, j’ai tenu la prêtraille à l’écart du Parti. Je ne crains pas la lutte. Elle aura lieu, si vraiment il faut en arriver là. Et je m’y déterminerai aussitôt que cela me paraîtra possible. (T1 p.243.)

Autres jugements Hitler sur les religions

Défiance de Hitler envers les Catholiques

Si la moindre tentative d’émeute devait éclater en ce moment en quelque lieu du Reich que ce soit, j’y répondrais par des mesures immédiates. Voici ce que je ferais :
a) Le jour même, tous les chefs de l’opposition, y compris les chefs du parti catholique seraient arrêtés et exécutés … (T2 p.51.)
 
Dès l’instant qu’il n’est pas possible de se prémunir totalement contre les risques d’attentat, je m’en tiens pour le surplus à cet adage viril qui dit que la chance sourit aux audacieux …
Ma meilleure garantie, en somme, c’est que les êtres capables de sacrifier à l’avance leur vie par pur idéalisme sont plutôt rares. Je ne vois guère de bourgeois ou même de marxistes capables d’une telle abnégation. Les plus dangereux, ce sont les fanatiques suscités par l’Église ou les patriotes exacerbés d’un pays occupé par nos troupes. (T2 p.92.)

Mépris de Hitler envers les Protestants

… Luther a eu le mérite de se dresser contre le Pape et contre l’organisation de l’Église. Ce fut la première des grandes révolutions. Et grâce à sa traduction de la Bible, Luther a remplacé nos dialectes par la langue allemande ! (T1 p.10.)
 
Le monde vit en ce moment l’une des révolutions les plus importantes de l’histoire humaine. Nous assistons aux derniers soubresauts du christianisme. Cela a commencé avec la révolution luthérienne. Le caractère bouleversant de cette rébellion, c’est que jusqu’alors une seule autorité existait, aussi bien sur le plan spirituel que sur le plan temporel, celle du Pape — ; car c’est lui qui déléguait le pouvoir temporel. Le dogme ne peut résister aux assauts sans cesse renouvelés de l’esprit de libre recherche. (T1 p.325.)
 
Aussi ne regrettera-t-on jamais trop qu’une personnalité comme Luther n’ait trouvé que de pâles épigones pour lui succéder. Sinon il n’eût jamais été possible, en Allemagne, de rétablir l’Église catholique sur une base assez solide pour lui permettre de subsister jusqu’à nos jours. (T2 p.51.)
 
Il est regrettable que, dans son conflit avec l’Église catholique, l’Église évangélique ne puisse être considérée comme un adversaire d’envergure.
– Cela s’inscrit même dans les détails d’ordre matériel, et cela m’a frappé lors d’une réception diplomatique. Dans leurs vêtements magnifiques, le Nonce et l’évêque qui l’accompagnait avaient si grande allure qu’on n’eût pu prétendre que l’Église catholique n’était pas représentée dignement. Face à eux, les représentants de l’Église évangélique avaient des faux cols douteux et des redingotes crasseuses. Leur mise détonnait tellement dans ce cadre que je leur fis proposer de mettre des vêtements convenables à leur disposition pour la prochaine réception diplomatique.
– Ces représentants de l’Église évangélique sont de tels petits bourgeois qu’ils essayèrent de discréditer à mes yeux l’évêque protestant du Reich en me signalant qu’il avait dépensé quatorze cents marks pour l’achat d’une nouvelle chambre à coucher et d’une salle d’attente. J’ai rétorqué à ces messieurs que, s’ils m’avaient réclamé un subside de trente mille marks pour cet évêque (en tant que pape de l’Église évangélique), je l’eusse fait accorder aussitôt par l’État. Mais en s’adressant à moi comme ils l’avaient fait, ils avaient prononcé leur propre condamnation. Des hommes de cette sorte n’ont pas l’envergure qui permettrait à l’Église évangélique de se mesurer efficacement avec l’Église catholique.
– Le comble, c’est que ces gens-là ne sont même pas honnêtes. C’est ainsi que — ; au moment où la lutte pour la destitution de l’évêque du Reich était engagée — ; le maréchal Gœring put faire enregistrer une communication téléphonique du pasteur Niemoller. Celui-ci, se référant à une conversation avec Hindenburg, se vantait en ces termes : « Nous avons administré une ultime onction au vieux, et nous l’avons si bien roulé dans la farine qu’il est prêt à flanquer définitivement à la porte ce putassier d’évêque ! » Le même jour, Niemoller plaidait sa cause devant moi, dans le style le plus onctueux, et à coups de citations bibliques, pour m’amener à intervenir contre l’évêque du Reich. Là-dessus, j’ai prié Gœring de lire la feuille d’écoute téléphonique. Si vous aviez vu la frousse de Niemoller et des délégués de l’Église évangélique ! Ils se sont littéralement effondrés, au point d’en devenir muets et invisibles. À quelque temps de là, je mis Hindenburg au courant de l’incident. Il fit la croix sur toute cette affaire, se bornant à cette remarque : « En vérité, le plus insignifiant de ces intrigants a l’air de se prendre pour un pape ! » (T2 p.53-54.)

Admiration de Hitler pour l’Islam

La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes. Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animé d’un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés. (T2 p.297.)

Hitler le révolutionnaire nationaliste et socialiste

Hitler souscrit à l’idéologie socialiste de la lutte des classes et à l’abolition des différences sociales

On ne peut en effet combler les fossés qui existent entre les riches et les pauvres avec les seules consolations de la religion. Je reconnais, pour ma part, que si on m’offrait le choix entre le dénuement sur terre (avec la contrepartie du bonheur suprême dans l’au-delà), et le paradis sur terre — ; je ne choisirais sûrement pas de chanter les alléluias jusqu’à la consommation des siècles.
En vertu de quelle loi, divine ou autre, les riches seuls auraient-ils le droit de gouverner ? (T1 p.325.)
 
On mesurera l’importance de l’évolution qui s’est accomplie en ce qui concerne l’abolition des différences sociales si l’on se souvient qu’autrefois un prince allemand préférait jouer les roitelets dans un quelconque pays balkanique plutôt que d’occuper une situation modeste dans son propre pays, fût-elle celle du balayeur de rues. Si l’on arrivait à éduquer la nation d’une solidarité fanatique entre compatriotes et de chacun d’eux à, l’égard de l’État, le Reich allemand — ; comme ce fut déjà le cas mille ans après l’effondrement de l’Empire romain — serait la plus grande puissance d’Europe. (T2 p.130.)

Commentaire de VLR :
Quel chrétien a-t-il jamais prétendu que l’autorité était légitimée par la richesse ? Si cette conception bien matérialiste de l’autorité a cours dans la société capitaliste, il n’en est pas de même dans la société traditionnelle où l’autorité est fondée sur la transcendance et le service du bien commun. On notera au passage la représentation étonnamment puérile que Hitler se fait d’un Paradis des Chrétiens décidément pas à la hauteur de son matérialisme. (Fin du commentaire)

Abandon de la notion d’autorité au nom de la raison

L’Église a fait un savant mélange des choses de ce monde et des choses de l’autre monde. Les pauvres croient qu’ils sont destinés de toute éternité à la pauvreté et que les enfants de leurs enfants doivent demeurer dans cet état jusqu’à la consommation des siècles — les riches, eux, n’ayant pas accès au paradis ! En spéculant sur l’infinie bêtise des humains, l’on peut maintenir indéfiniment l’ordre établi. C’est là ce qui importe avant tout aux possédants et qui, aux yeux des bien-pensants, donne toute sa valeur au système catholique 1 m’a avoué un jour qu’il avait abjuré la foi protestante dès l’instant qu’il s’était aperçu que la révolution accomplie par Luther avait ébranlé dans le monde la notion d’autorité. Oui, mais je pense que si l’homme a été doué de raison, c’est pour s’en servir, et je doute qu’à la longue une réalité qui offense la raison puisse conserver des chances de durer. Il n’est jamais possible de s’accrocher longtemps à des notions que contredisent les données de la science. (T2 p.237-238.)

Napoléon traître aux espérances révolutionnaires

Il serait … inopportun de changer le titre du chef de l’État, ce titre étant lié à la forme même de l’État. En plus de la manifestation de son esprit de famille dans les affaires politiques, ce fut la plus grande erreur de Napoléon, et en même temps une preuve de mauvais goût de sa part, d’avoir renoncé au titre de « Premier Consul » pour se faire appeler « Empereur ». C’est en effet sous le titre de « Premier Consul » que la Révolution — ; celle qui a ébranlé le monde — ; l’a porté au pouvoir par-dessus le Directoire (ce comité d’estaminet), lui, le général républicain. En renonçant à ce titre et en se faisant appeler empereur, il a renié les Jacobins, ses anciens compagnons de lutte, et perdu leur appui. Du même coup, il s’est aliéné, à l’intérieur et à l’étranger, d’innombrables partisans qui voyaient en lui la personnification du renouvellement moral que devait apporter la Révolution française. … La stupéfaction causée en Europe par ce titre d’empereur est bien caractérisée par ce geste de Beethoven qui déchira une symphonie qu’il venait de dédier à Napoléon. Il en piétina les morceaux, s’écriant : « Ce n’est pas l’homme extraordinaire que je croyais, ce n’est qu’un homme ! »
Ce qu’il y a de tragique dans le cas de Napoléon, c’est qu’il n’a pas senti, en adoptant le titre d’empereur, en formant une cour, en instituant un cérémonial, qu’il ne faisait que s’abaisser, se mettant au niveau d’un monde dégénéré. Personnellement, je considérerais comme un cas de pure démence qu’on vînt, par exemple, m’offrir le titre de duc. Ce serait comme si l’on me demandait de reconnaître des liens de parenté avec tous les rabougris qui portent ce titre. (T2 p.26-27.)

Le Reich doit être une république

En ce qui concerne le régime de l’Allemagne, je suis arrivé aux conclusions suivantes :
– Le Reich doit être une république, ayant à sa tête un chef élu et doté d’une autorité absolue.
– Une représentation populaire doit néanmoins subsister à titre de correctif. Son rôle est de soutenir le chef, mais elle doit pouvoir intervenir en cas de besoin.
– Ce n’est pas la représentation populaire mais le Sénat qui doit procéder au choix du chef. Il importe toutefois que les compétences du Sénat soient limitées. Sa composition ne doit pas être permanente. Au surplus, elle doit se rapporter à des fonctions et non à des personnes. Par leur formation, ces sénateurs doivent être imprégnés de l’idée qu’en aucun cas le pouvoir ne peut être délégué à un être débile et que le Führer choisi doit toujours être le meilleur.
–  L’élection du chef ne doit pas avoir lieu en public, mais à huis-clos. Lors de l’élection d’un pape, le peuple ignore ce qui se passe dans les coulisses. On rapporte un cas où il y eut échange de horions entre les cardinaux. Depuis lors, les cardinaux sont privés de tout contact avec le monde extérieur pour la durée du conclave ! Un principe à respecter pour l’élection du Führer : toute conversation est interdite entre les électeurs pendant la durée des opérations.
– Le Parti, l’armée et le corps des fonctionnaires de l’État doivent prêter serment au nouveau chef dans les trois heures qui suivent l’élection.
– La séparation la plus rigoureuse entre le législatif et l’exécutif doit être la loi suprême pour le nouveau chef. De même que dans le Parti, la SA et la SS ne sont que l’épée à qui l’on confie l’exécution des décisions prises par les organes compétents, de même les agents d’exécution n’ont pas à s’occuper de politique. Ils doivent se borner exclusivement à assurer l’application des lois dictées par le pouvoir législatif, en faisant appel à l’épée en cas de besoin. Quand bien même un État, fondé sur de tels principes, ne saurait prétendre à l’éternité, il peut durer huit ou neuf siècles. L’organisation millénaire de l’Église le prouve — ; et pourtant cette organisation tout entière repose sur un non-sens. A fortiori cela doit être vrai pour une organisation fondée sur la raison. (T2 p.30-31.)

La logique d’une idée (idéologie) contre la réalité des pays

Quand je rencontre des chefs des autres peuples germaniques, je suis, du fait de mon origine, particulièrement bien placé pour discuter avec eux. Je puis en effet leur rappeler que ma patrie fut durant cinq siècles un puissant empire, avec une capitale comme Vienne, et que je n’ai pourtant pas hésité à sacrifier ma patrie à l’idée du Reich. (T1 pp.282-283.)
 
J’ai été impitoyable pour tous ceux qui ont donné dans le séparatisme — ne fusse qu’à titre d’avertissement et pour faire entrer dans la tête de chacun qu’en ce domaine nous n’admettons pas la plaisanterie. Mais, d’une façon générale, je puis dire que j’étais plein de modération. (T1 p.263.)

Les peuples soumis ne doivent être « affranchis » que partiellement par la révolution

Ce serait une erreur de prétendre éduquer l’indigène. Tout ce que nous pourrions lui donner, c’est un demi-savoir. Juste ce qu’il faut pour conduire à la révolution ! (T1 p.34.)
 
Je ne veux imposer le national-socialisme à personne. Si on me dit que certains pays veulent rester des démocrates, eh bien tant mieux, il faut à tout prix qu’il restent des démocrates ! Les Français, par exemple, doivent conserver leurs partis. Plus il y aura chez eux de mouvements sociaux révolutionnaires, mieux cela vaudra pour nous. (T1 p.23.)

La Révolution « libère » les masses

Quand la masse, en Angleterre, se rendra compte de sa propre puissance, il est vraisemblable qu’elle fera une révolution sanglante. … Ce sera l’un des mérites du national-socialisme d’avoir su arrêter sa révolution au moment opportun. C’est très beau de vouloir élever le peuple, mais il faut être réaliste et aller plus loin que les phrases. On ne compte plus les révolutions qui ont échoué, ou qui ont dégénéré faute d’être conduites. … La révolution ouvre une écluse, et il est souvent impossible de freiner les masses qu’on a déchaînées. Une révolution comporte trois objectifs :
– Il s’agit d’abord d’abattre les cloisons qui séparent les classes afin de permettre à chacun de s’élever.
– Il s’agit ensuite d’établir un niveau de vie tel que le plus pauvre se trouve assuré d’une existence décente.
– Il s’agit enfin de faire en sorte que les bienfaits de la civilisation deviennent un bien commun. (T1 pp.324-325.)

Hitler contre la monarchie

La monarchie ne préserve pas les intérêts de la nation

Le devoir des Hohenzollern eût été de sacrifier la monarchie des Habsbourg aux aspirations russes dans les Balkans. La domination d’une dynastie cesse d’être justifiée quand ses ambitions cessent d’être ajustées aux intérêts permanents de la nation. Une dynastie est condamnée au déclin lorsqu’elle n’est plus guidée que par le désir de sauvegarder la paix à tout prix et par le désir de se montrer complaisante à l’égard de certaines maisons étrangères.
C’est pourquoi je suis reconnaissant à la social-démocratie d’avoir balayé toutes ces royautés. Même en concevant que ce fût indispensable, je ne sais pas si quelqu’un d’entre nous eût pris aussi nettement position contre la maison de Hohenzollern. Contre les Habsbourg, oui ! À mes yeux, c’était une dynastie étrangère. (T1 p.36.)
 
La monarchie est une forme dépassée. Elle n’a de raison d’être que là où le monarque est l’incarnation de la constitution, un symbole, et où le pouvoir effectif est exercé par un premier ministre ou tout autre chef responsable.
Le dernier appui d’un monarque insuffisant, c’est l’armée. Avec la monarchie, il y a donc toujours danger que l’armée puisse mettre en péril les intérêts du pays.
On peut tirer de l’étude de l’histoire cet enseignement que l’ère des princes est terminée. L’histoire du moyen âge se confond en somme avec l’histoire d’une famille. Depuis 200 ans, nous assistons à la décomposition de ce système. Les maisons princières n’ont maintenu que leurs revendications. Elles en trafiquent et en vivent. (T1 p.120.)
 
Les princes constituent une race unique au monde pour ce qui est de la stupidité. C’est une sélection à l’envers. … À chaque génération, les maison princières d’Europe dégénèrent un peu plus. … En fin de compte, tous les princes européens ont une origine commune. Ils remontent tous, d’une façon ou d’une autre, aux Carolingiens. … J’admire la patience des peuples capables de supporter toutes ces chinoiseries. La coutume de se prosterner devant des princes présentait cet unique avantage qu’ainsi le peuple n’avait jamais l’occasion de contempler ces faces de crétins ! On fait des efforts incessants pour améliorer la qualité du bétail, mais quand il s’agit de l’aristocratie c’est exactement le contraire qui a lieu. … L’on devrait imposer à toutes les princesses de n’avoir de rapport qu’avec des chauffeurs ou des palefreniers. (T2 p.321.)

La transcendance de la monarchie insulte la raison

Lorsque, à la Noël de l’an 800, Charlemagne s’est agenouillé à Saint-Pierre-de-Rome, le Pape — avant que Charlemagne eût eu le temps de réaliser la signification de ce geste — lui plaça la couronne impériale sur la tête. Charlemagne a livré ainsi ses successeurs à un pouvoir qui, durant des siècles, infligea un véritable martyre à la nation allemande. (T2 p.190.)

Le Roi d’Italie entrave l’action du Duce

Il m’est toujours pénible, lorsque je rencontre le Duce en Italie, de le voir relégué au deuxième rang quand les gens de la Cour sont là. Les manifestations qu’il organise à mon intention sont pour moi empoisonnées du fait que j’y dois subir le contact des arrogants et des fainéants de l’aristocratie. … Ce ne fut pas pour moi une joie particulière de me trouver continuellement dans la compagnie des laiderons de la Cour — et d’autant moins que je ne pouvais m’empêcher de penser aux difficultés que l’entourage du Roi ne cessa de créer au Duce, depuis le début. Ils se croient malins aujourd’hui en faisant de l’œil à l’Angleterre ! (T2 p.76.)
 
Peut-être le Duce est-il arrivé un an trop tôt avec sa révolution. Il aurait sans doute fallu laisser faire les Rouges d’abord — qui eussent exterminé l’aristocratie. Le Duce serait devenu chef d’État. Ainsi l’abcès aurait été débridé. (T1 p.261.)
Les choses ne s’amélioreront en Italie que lorsque le Duce aura sacrifié la monarchie et pris effectivement la direction d’un État autoritaire. Cette forme de gouvernement peut se perpétuer durant des siècles. (T1 p.303.)
 
Ce qui entrave terriblement l’œuvre du Duce, c’est le fait que son pouvoir est limité par la couronne. … Si notre alliance avec l’Italie ne nous satisfait pas en tout, c’est parce que le Roi et la cour ont de trop grandes possibilités d’intervention dans tous les domaines. (T2 pp.224-225.)
 
Ce qui fait la différence entre l’Italie et l’Allemagne, c’est qu’en Italie le Duce n’est pas le seul maître de l’État, d’où de nombreux points faibles, dans les corps des officiers, par exemple. Dès l’instant qu’un effort est exigé d’eux, ils en appellent au Roi. … Le Duce ne peut même pas quitter Rome pour une absence prolongée sans qu’aussitôt les intrigants ne se mettent à l’œuvre. (T2 pp.245-246.)

Le roi des Belges contre le Führer

J’ajoute que jusqu’ici nous avons eu beaucoup trop d’égards pour les réactionnaires belges. Ce fut une erreur de ne pas emmener le roi Léopold en captivité et de lui avoir permis de demeurer en Belgique, par courtoisie envers ses intercesseurs italiens. Si le roi des Belges n’est pas une lumière, c’est en revanche un homme très intrigant. Il est au surplus le centre de ralliement des éléments réactionnaires. (T2 p.174.)
 
Si j’ai rencontré une fois dans ma vie un être antipathique, c’est le Belge. Ce Léopold est un fameux coquin, rusé comme un renard. Nous l’avons maintenant sur les bras. À son sujet, nous avons commis une erreur en 1940 une fameuse sottise, que je porte au compte de mes erreurs. J’aurais dû le traiter comme un prisonnier de guerre. Sa sœur, il est vrai, est la princesse héritière d’Italie. (T2 p.262.)

Les moyens de domination des masses

Déraciner par la musique et la danse

Tout ce que les Russes, les Ukrainiens, les Kirghizes pourraient apprendre à l’école (simplement à lire et à écrire) finirait par se retourner contre nous. Un cerveau éclairé par des notions d’histoire en arrive à concevoir des idées politiques, et cela ne tournerait jamais à notre avantage. Mieux vaut installer un haut-parleur dans chaque village : donner quelques nouvelles à la population, et surtout la distraire. À quoi bon lui donner la possibilité d’acquérir des connaissances en politique, en économie ? Il n’est pas question que la radio se mêle de servir aux peuples soumis des causeries sur leur passé historique. Non, de la musique, et encore de la musique ! La musique gaie provoque l’euphorie au travail. Qu’on fournisse à ces gens-là l’occasion de danser beaucoup, ils nous en seront reconnaissants. (T2 p.65.)

Soumettre jusqu’au sacrifice grâce à la liberté de jouissance

Pour mériter sa place dans l’histoire, notre peuple doit être avant tout un peuple de soldats. Cela implique à la fois des devoirs et des droits : une éducation d’une extrême rigueur, mais la possibilité de jouir sainement de la vie. Si un soldat allemand doit être prêt à donner sa vie sans discussion il doit avoir en revanche la liberté d’aimer sans entraves. La vie est ainsi faite que la guerre et l’amour vont de pair. Quant au petit bourgeois ergoteur et mesquin, qu’il se contente des miettes du festin ! Mais pour tenir le soldat dans l’appétence du combat, qu’on ne vienne pas l’importuner avec le précepte religieux qui recommande l’abstinence de la chair. Un homme à l’esprit sain ne peut que sourire quand un saint Antoine prétend lui ôter la joie la plus grande qui soit et l’inciter à « se mortifier lui-même à coups de cravache » ! (T2 p.74.)
 
Le mauvais côté du mariage, c’est que cela crée des droits. Alors il vaut mieux avoir une maîtresse. Le fardeau s’allège, et tout est placé sur le plan du don. (T1 p.239.)

Savoir parler aux masses

Les hommes de l’opposition nationale se sont épuisés à avoir raison. Quand, durant des dizaines d’années, l’on a prêché dans le désert, il se trouve qu’au moment d’agir l’on ait perdu tout contact avec la réalité. Ces Allemands de la vieille école étaient de belles natures, mais leur rayon, c’était la littérature. Leur audience : vingt mille lecteurs de leur trempe. Aucun d’eux ne savait parler au peuple.
D’emblée, je me suis aperçu qu’on ne pouvait aller loin en suivant cette voie. Celui qui veut agir doit prendre appui sur la foi, et la foi ne se trouve que dans le peuple. La grande masse est sans mémoire, elle va de l’avant avec l’ingénuité de l’innocence. Nous avons vu de quoi est capable un peuple qui est dirigé. En lui toutes les possibilités existent, pour le bien comme pour le mal. Le devoir du national-socialisme, tendre inébranlablement à ceci : que ce qu’il y a de meilleur dans le peuple puisse se développer sans cesse. (T1 p.37.)

  1. Cramer-KlettTheodor von Cramer-Klett (1874–1938), industriel allemand converti au catholicisme (note de VLR)
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