Texte admirable dans lequel Henri V comte de Chambord, roi légitime qui n’a jamais régné, prend la défense des ouvriers et propose un modèle social qui reste une solution plus que jamais d’actualité.
Préface de VLR
Depuis 1791 et la loi Le Chapelier qui abolissait les corporations et le droit d’association, les ouvriers exploités par la bourgeoisie révolutionnaire, étaient plongés dans la misère la plus épouvantable. En dehors des œuvres caritatives chrétiennes, personne ne se souciait du sort de ces (...)
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Lettre ouverte
Articles
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Lettre sur les ouvriers par Henri V comte de Chambord (20 Avril 1865)
9 mai 2008, par Faoudel -
L’idéal politique de la Monarchie par Henri V comte de Chambord (1869)
20 mai 2008, par MabBlavetRetrouver l’alliance traditionnelle entre autorité et liberté, décentraliser l’administration, gouverner en s’appuyant sur les vertus au lieu de flatter les passions, et ... servir ...
Contenu de la lettre :
Vous savez mieux que tout autre, mon cher ami, si la pensée de la France, la passion de son bonheur et de sa gloire, le désir de lui voir reprendre dans le monde la place que la Providence lui a assignée, font l’objet de mes constantes et bien vives préoccupations.
J’ai toujours respecté mon (...) -
Lettre à monseigneur le Dauphin, par BOSSUET
15 décembre 2012, par MabBlavetAvec des accents tout confucéens* Bossuet rappelle la nécessité pour tout homme d’exercer sa raison, « cette lumière admirable, dont le riche présent … vient du ciel » et « par laquelle Dieu a voulu que tous les hommes fussent libres ». Acquérir l’esprit de discernement, apprendre à résister à l’esclavage des passions, entrainer son attention, tel est précisément le rôle de l’éducation. C’est pour faire du fils de Louis XIV un homme vertueux et donc libre, que Bossuet l’exhorte au respect des règles de (...)
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L’inacceptable drapeau tricolore frappé du Sacré-Cœur, par le cardinal BILLOT
16 février 2013, par MabBlavetEmblème du national-catholicisme, le drapeau bleu-blanc-rouge frappé du Sacré-Cœur consacre le mariage contre-nature des catholiques avec la Révolution. Au même titre que la croyance en une bonne assemblée délibérante, le drapeau national ainsi baptisé, relève du vieux mythe de la bonne république chez les catholiques. Dans un article du Figaro daté du 4 mai 1918, le cardinal Billot — grand théologien dont on connaît l’orthodoxie et l’antilibéralisme combatif — revient sur ces assemblages artificiels (...)