La crise boursière a au moins eu le mérite de mettre à mal le dogme libéral du libre échange et le monde s’indigne à juste titre de l’enrichissement artificiel des uns et de l’appauvrissement des autres. Alors ! n’y-a-t-il d’issue que dans la désespérante lutte des classes socialiste, dresser le « peuple » contre le patronat ? La solution n’est-elle pas dans le corporatisme, où le patron et l’ouvrier travaillent ensemble pour le bien commun de la Cité, dans le souci de l’ouvrage bien fait, avec des prix et (...)
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Corporations
Articles
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Les corporations : utopie ou idée neuve ?
20 octobre 2008, par Valancony -
Révolution française et travail, par Monseigneur FREPPEL (1889)
12 janvier 2009, par MabBlavetAu nom de l’idéologie égalitaire, la Révolution supprime les corporations, ces sociétés qui, non seulement assuraient la protection des hommes de métier, mais leur procuraient avec l’amour de leur travail, honneur et dignité. Monseigneur FREPPEL dénonce donc la Révolution française comme source de l’oppression de la classe ouvrière et comme cause de cette autre plaie des temps modernes : l’antagonisme capital/travail.
Préface de VLR
Le document suivant est tiré du livre de Mgr Freppel :
La Révolution (...) -
Les corps intermédiaires, entre individu et État
3 mai 2014, par ValanconyLes corps intermédiaires étaient des communautés traditionnelles au sein desquelles l’homme détenait des parcelles d’autorité en vertu du principe de subsidiarité ; ils lui apportaient protection, responsabilités, honneur et dignité dans le service du bien commun. La Révolution leur a substitué les sociétés de pensée, ces communautés artificielles où la personne est privée de toute possibilité d’action concrète et soumise à la tyrannie de l’opinion. La démocratie égalitaire la laisse nue et désemparée face (...)
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Économie libérale : main invisible, main injuste
27 mai 2018, par DesMilletsFondé sur l’égoïsme, le libéralisme économique ne se préoccupe pas de justice. Plus encore, dans la pratique il viole ses propres principes (principes de liberté du travail, de liberté de gestion, de libre concurrence, d’acceptation des risques). Pareillement il n’assure pas les droits qu’il prétend garantir comme les droits à l’emploi ou celui du choix de l’emploi. En réalité tout le système est organisé pour qu’une toute petite minorité puisse concentrer et conserver dans ses mains tous les pouvoirs et (...)